Multilinguisme + plurilinguisme

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Διαχειριστής: Μιχάλης Πολίτης, Αναπληρωτής Καθηγητής, ΤΞΓΜΔ Ιονίου Πανεπιστημίου

Σάββατο 25 Ιανουαρίου 2014

Διεθνές συνέδριο: "CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LANGUE, LITTÉRATURE ET CULTURE DANS L'ÉDUCATION - LLCE2014" (7-9 mai, 2014, Nitra, Slovaquie)



CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LANGUE, LITTÉRATURE
ET CULTURE DANS L'ÉDUCATION - LLCE2014
7-9 mai, 2014, Nitra, Slovaquie
Date limite: 31 janvier 2014


Page officielle de la Conférence internationale sur Langue, Littérature et Culture dans l'Éducation 2014 Language, Literature and Culture in Education - LLCE 2014: http://jolace.webnode.sk/en/llce2014/

La conférence aura lieu entre le 7 et 9 mai 2014, dans la ville historique de Nitra, Slovaquie.

Habitée de plus de 6 000 ans, Nitra est une ville européenne historique et culturelle, ville de deux universités et de plusieurs institutions de recherche. Elle est devenue également un centre de recherche moderne et d'éducation.
LLCE2014 fait une liaison et ainsi enrichit la tradition de la série des conférences Foreign Languages and Cultures at School (2002-2013) et se donne l'objectif de créer une plateforme idéale des chercheurs, scholars, enseignants, maitres de conférences, professeurs des universités, futurs enseignants, enseignants titulaires afin de discuter, d'échanger et de partager les résultats des recherches, des projets, des expériences et des nouvelles idées sur les études en langue, littérature et culture reliées avec l'enseignement et l'éducation dans une atmosphère conviviale internationale.

Langues de travail
Les langues officielles de travail sont l'anglais et le français.

Dates importantes
·         Proposition des résumés Date limite: 31 janvier 2014 (inclus) jbirova@ukf.sk
·         Notification de l'acceptation ou du refus: 14 février 2014
·         Inscription date limite pour les auteurs: 15 mars 2014 (inclus)
·         Soumission des articles entiers Date limite: 31 mars 2014 (inclus)
·         Dates de la conférence Nitra (Slovaquie), 7-9 mai 2014
·         Résumés CD et procédures et publication des articles de la conférence: 31 mai 2014
·         Journal of Language and Cultural Education Conference Issue (Vol. 2, Issue 3) publication des articles approuvés: 30 septembre 2014

Modalités de la présentation

a) Pléniaire (40 min.)
Les présentateurs pléniaires sont demandés de restreindre leur présentation au max. 35 minutes qui sera suivie par une discussion de 5 minutes.

b) Article scientifique (20 min.)
Les scholars, les chercheurs, les maitres de conférences ou autres présentateurs scientifiques prépareront leur présentation de 15 minutes. Elle sera suivie par une discussion de 5 minutes.

c) Atelier (30 min.)
Les sessions d'ateliers comprennent la participation active de l'auditorium. Et ceci par l'intermédiaire desdiscussions et des expériences pratiques ou théoriques personnelles et professionnelles.

d) Poster
Les posters peuvent être du format, au max., A1 (594mm x 840mm) et doivent inclure l'un des thèmes listés.

e) Articles virtuels.

Publications
Les résumés et les articles acceptés seront publiés dans deux publications avec un numéro ISBN. Les deux publications seront incluses dans Google Scholar et envoyées pour leur acceptation dans ISI Conference Proceedings Citation Index.
Les articles approuvés par les examinateurs du comité scientifique seront publiés en tant qu'un tome dans le journal scientifique JoLaCE: Journal of Language and Cultural Education (ISSN:1339-4045).

Διεθνές συνέδριο: "CECI - COMMUNICATION ÉLECTRONIQUE, CULTURES ET IDENTITÉS" (Le Havre - Les 11, 12 & 13 juin 2014)



COLLOQUE INTERNATIONAL CECI - COMMUNICATION
ÉLECTRONIQUE, CULTURES ET IDENTITÉS
Le Havre - Les 11, 12 & 13 juin 2014

Date limite: 31 janvier 2014



Après 2010 (La communication électronique en situations mono et plurilingues – Formes, Frontières, Futurs)et 2012 (La communication électronique dans la société de « l’information »), nous organisons en 2014 untroisième colloque international sur la communication électronique au Havre. Cette manifestation scientifique se déroulera dans les locaux de l’IUT (Quai Frissard- Le Havre, France), comme lors des précédentes éditions, et elle sera l’occasion de fêter les 20 ans du Département Information-Communication.
Si nous souhaitons continuer de mobiliser les chercheurs sur cette thématique qui est au cœur des préoccupations de l’équipe organisatrice (http://www.cirtai.org), c’est parce que la communication électronique est, plus que jamais, une activité sociale, sociétale essentielle. En effet, la communication électronique, qui consiste en l’échange d’informations de natures variées et sous des formes diverses à l’aide des Technologies de l’Information et de la Communication (désormais TIC), permet de/conduit à « laisser » des traces numériques, consciemment ou non, de son passage et/ou de son activité.
L’Homme-Trace converse aujourd’hui avec une grande variété d’interlocuteurs, il prend la parole publiquement sur les réseaux et s’empare de toutes les TIC renégociant les usages comme les pratiques. Ce phénomène, ce pluri-usage numérique génère une plurisémioticité des échanges, un plurilinguisme, un pluriculturalisme qui ont tous des effets sur l’identité des interlocuteurs/interscripteurs. C’est en tenant compte de ces constats que nous avons décidé de structurer la réflexion à partir de 4 niveaux. Nous proposons ainsi de réfléchir
1)       à la place de l’individu (notamment au travers de son rapport au corps et aux « espaces » qui l’entourent) en situation de communication électronique ;
2)       à la manière dont ceux qui reçoivent et qui organisent les savoirs perçoivent et exploitent l’outil communication électronique ;
3)       aux nouveaux rapports que les usages numériques politiques instaurent (de l’Homme au citoyen) ;
4)       aux effets de la communication électronique sur les entreprises, les marques.
Formellement, ces 4 niveaux prennent la forme de 4 axes et nous souhaitons que les propositions de communication s’inscrivent dans l’un d’eux.

Axe 1 – Corps physique et corps informatisé

Toute considération sur le corps rappelle que la culture est un mécanisme éminemment biologique. Au-delà de sa réputation de média élémentaire, le corps est le sujet (et l’objet) de nombreuses complexifications. Assisté, appareillé, voire fatalement posthumain, il reste le domaine de prédilection de la construction du Soi et de ses reflets. Par ses qualités d’« interface », entre jugements, signes et traces, il investit des paradigmes de reconstruction ou de recomposition dans lesquels les traces (numériques) suppléent l’absence des corps physiques. Le corps investi par l’action évolue vers un corps individualisé à la recherche de visibilité, ralliant empreintes durables et manières systématisées de sentir et de penser. Dès lors, quelles sont les mutations, les réciprocités, les incidences qui cristallisent la présence physique au cœur de la communication électronique ? Doit-on parler d’un corps informatisé, ou bien d’un corps simplement informé ? Quels sont les contextes, technologiques, communicationnels, sociologiques, etc., qui conditionnent les évolutions les plus remarquables, et avec quels impacts sur des études futures ? Cette liste n’est pas exhaustive et toutes propositions traitant du corps et (/en situation) de communication électronique seront appréciées.

Axe 2 – Apprentissage, formation et communication électronique

Les TIC, les usages et les pratiques qui en découlent jouent un rôle majeur dans les processus d’apprentissage développés par et pour les apprenants. Le rapport à ces outils est complexe notamment pour les plus jeunes qui s’en emparent de plus en plus tôt et développent des usages et des pratiques parfois frénétiques. Le non usage est une réalité mais nous constatons aussi qu’une immense majorité de la population en France et dans le monde vit au quotidien avec les TIC. L’Ecole et la formation (tout au long de la vie) sont ainsi directement concernées et logiquement questionnées. Elles sont interrogées parce qu’elles subissent les usages et les pratiques de communication électronique mais aussi (et surtout) parce qu’elles se les approprient pour « aider » les apprentissages (rediscutant par là même le rapport au savoir, rapport à la société, rapport aux institutions, rapport à l’Altérité, etc.).
Les apprentissages se réalisent donc pour partie grâce aux TIC et dans ce monde virtuel que les enseignants/formateurs intègrent dans la démarche pédagogique. Cela permet aux jeunes notamment de comprendre que les usages qu’ils produisent ne sont pas nécessairement l’usage et que la communication électronique ne permet pas seulement de tisser du lien social. Cette redécouverte peut permettre, par exemple, de rendre efficiente une stratégie (d’écriture) communicationnelle dans le cadre d’une recherche de formation, de recherche d’emploi, d’échanges professionnels, etc.
Les contributions pour cet axe pourront s’articuler autour de questions variées du type : quels apprenants numériques ? De quelles « connaissances ignorées » disposent-ils ? Comment les jeunes vivent-ils leur savoir numérique ? Quels types d’apprentissages sont concernés par les TIC ? Quelle communication électronique (consciente ou non) pour le recrutement ?

Axe 3 – Politique polyTIC

Au cours de la deuxième moitié du XXème siècle, la communication politique s’est très vite établie dans les pays démocratiques. Aujourd’hui, le recours aux TIC est devenu quasi-indispensable pour tout candidat se présentant à une échéance électorale. Cet essor rapide de la communication électronique dans le domaine politique ne doit rien au hasard. Il a été favorisé, entre autres, par le développement et l’amplification des TIC. D’un côté ces nouveaux outils permettent aux citoyens l’accès à de nouvelles tribunes d’expression ainsi que la possibilité de mener des actions politiques spécifiques. D’un autre côté, les TIC permettent aux politiques d’être plus visibles dans l’espace public tout en leur assurant une indépendance vis-à-vis des médias traditionnels.
Les contributions pour cet axe pourront s’articuler autour des questions suivantes : quels sont les usages et les pratiques des TIC (réseaux sociaux, micro-blogs, site web…) dans les campagnes électorales (locales, nationales, européennes…) ? Quels rôles jouent-elles dans l’établissement du contact direct avec les citoyens/électeurs (e-démocratie, e-gouvernement, e-citoyenneté…) ? Comment les citoyens s’approprient-ils les TIC pour mener des actions collectives en direction de l’opinion publique ?

Axe 4 – Marketing et stratégies numériques

Le développement des TIC a conduit les institutions et entreprises à adapter leurs stratégies commerciales et communicationnelles à de nouveaux dispositifs et supports électroniques, et à instaurer de nouvelles techniques relationnelles auprès de leurs publics/clients (stratégies numériques). D’une part, elles se doivent de soigner leur visibilité numérique et leur discours institutionnel (notoriété, e-réputation), par la mise en service d’interfaces web attractives et une présence active sur les réseaux sociaux (fan page FB, compte Twitter, etc.), induisant des modes de communication de plus en plus interactifs, qui confèrent aux publics des moyens d’expression (critiques) et de pression (appels au boycott) puissants, et supposent habileté et rapidité dans la gestion des crises. D’autre part, elles sont désormais conduites à intégrer les dispositifs électroniques à leurs stratégies marketing en proposant à leurs clients de multiples services (e-commerce, m-commerce – dont applications de géolocalisation) et modes d’information ou de sollicitation (newsletters, e-mailing personnalisé, notifications par SMS).
Les contributions pour cet axe pourront interroger les bénéfices et risques de ces évolutions, ou développer l’analyse d’un cas particulier (/aspect spécifique) de communication électronique à visée commerciale ou institutionnelle.

Proposition de communication

Pour chaque proposition de communication, le texte devra comporter :
·         le titre de la communication,
·         un résumé de 3 500 caractères espaces compris,
·         l’inscription dans l’un des 4 axes proposés,
·         les coordonnées personnelles et l’affiliation institutionnelle de l’auteur.

Les propositions devront nous parvenir pour le 31 janvier 2014 à l’adresse suivante :

Elles seront évaluées, en double aveugle, par les membres du comité scientifique.
Les langues du colloque sont le français et l’anglais.

Publication(s)

Les communications feront l’objet de publications courtes (8 pages) dans des Actes (version papier) disponibles pour l’ouverture du colloque.
A son terme et sur la base de la qualité des communications tenues, une publication longue (15 pages) sera éventuellement proposée. Elle fera alors l’objet d’une évaluation par le comité de lecture expressément constitué.

Calendrier

·         31 janvier 2014 : date limite de réception des propositions de communication.
·         04 mars 2014 : notification d’acceptation.
·         04 mai 2014 : date limite d’inscription au colloque et de remise des textes courts (8 pages) pour les Actes.

Frais d’inscription

·         110 euros pour les enseignants-chercheurs et les chercheurs.
·         70 euros pour les doctorants.

L’inscription comprend un exemplaire des Actes, les repas du midi et les pauses-cafés.

Comité scientifique

·         Ibrahim Albalawi (Université du Roi Saoud – Riyad – Arabie Saoudite)
·         Thomas Atenga (Université de Douala – Cameroun)
·         Synda Ben Affana (Université du Québec – Trois-Rivières – Canada)
·         John Barzman (Université du Havre)
·         Marcel Burger (Université de Lausanne – Suisse)
·         Nedjma Cherrad (Université de Constantine – Algérie)
·         José Luis Dader (Université de Complutense – Espagne)
·         Eric Delamotte (Université de Rouen)
·         Martina Drescher (Université de Bayreuth – Allemagne)
·         Alain-Philippe Durand (Université d’Arizona – Etats-Unis)
·         Béatrice Galinon-Mélénec (IUT du Havre)
·         Gilles Gauthier (Université de Laval – Québec – Canada)
·         Kamel Gharbi (Université du Bahreïn – Manama – Bahreïn)
·         Sadok Hammami (Université La Manouba – Tunis – Tunisie)
·         Sung-do Kim (Université de Corée – Séoul – Corée du Sud)
·         Alain Kiyindou (Université de Bordeaux)
·         Frédéric Lambert (IFP, Paris II)
·         Pascal Lardellier (Université de Bourgogne)
·         Christian Licoppe (Telecom Paristech)
·         Dawn Marley (Université du Surrey – Grande-Bretagne)
·         Adrian Mihalache (Université Polytechnique de Bucarest – Roumanie)
·         Isabelle Pailliart (Université de Grenoble 3)
·         Francesca Pasquali (Université de Bergame – Italie)
·         Randal Pompeu (Université de Fortaleza – Brésil)
·         Jacques Walter (Université de Metz)
·         Comité d’organisation
·         Jennifer Lou Burford (Université du Havre)
·         Christelle Crumière (IUT du Havre – co-responsable)
·         Guillaume Delignières (IDHE – ENS Cachan)
·         Daiana Dula (Université de Rouen – co-responsable)
·         Eric Guéguen (IUT du Havre)
·         Florence Jacob (IUT du Havre)
·         Guillaume Le mignot (IUT du Havre)
·         Fabien Liénard (IUT du Havre – co-responsable)
·         Basilia Marchandise-Ruiz (IUT du Havre)
·         Liliane Rouzès (IUT du Havre)
·         Hadi Sabaayon (Université du Havre)
·         Clotilde Vaissaire (IUT du Havre)
·         Sami Zlitni (IUT du Havre – co-responsable)